Toujours pour toi, j'ais résisté,
A cette fatalité,
Qui semble s'abbatre sur tous tes amis,
Qu'ils soit pres ou loin d'ici.
Tu crois que tu es responsable,
Tu crois que tu es accusable,
Mais ce n'est pas toi le coupable,
Ce pas toi qui a fait tout ce mal.
Tu as justé été,
A nouveau abusée,
Par ce Destin qui nous entrainent,
Ce destin qui nous traine,
Qui nous fait les pires atrocitée,
Qui semble vouloir nous voir tous sombrer.
Mais a deux nous saurons tenir,
Car pour tout ton devenir,
Nous marcherons côte a côte,
Nous franchirons toutes ces côtes.
Peut être un troisième se rajouteras,
Et qui sais, un quatrième , cinquième arriverat,
Notre marche est loin d'être terminée,
Et même si au bout du compte,
Nos pas nous menneront dans des plaines dévastée,
Nous pourons enfin sans encombre,
Nous reposer a l'arrivée.
Et ceux qui seront partit en chemin,
Ceux qui n'auront pas sut suivre ce tragique Destin,
Gardons nous de les blammer,
Car parfois les pires préjudices,
Sont a la source de terribles sacrifices.
Mais a ceux qui ne savent pas changer,
Même quand notre ombre serat éffacée,
Eux ne méritent pas le pardon,
Qu'ils en perdent leur raison,
Car nul ne peut sauver,
Ceux qui sont aveuglés.
Nous marcherons mon amie,
Nous continueront a l'infini,
Et quand notre marche s'arrêterat,
Nous verrons tout comme eux,
Nous verrons tout comme toi et moi,
D'autres partir au loin,
Continuer leur chemin,
Et eux nous haïrons peut être,
Ou nous regreteront de tous leur être,
Mais ils ne changeront rien,
Car qui s'arrête sur le chemin,
Ne peut plus remarcher,
Il doit s'arrêter et regarder,
De la où il est.
Mais