En l'an 2051

"Les Ghost. Une invention qui fut autrefois si belle, et maintenant qui est la pire que l'on ai inventée. Quand on pense a tous ceux qu'ils ont déconecté par ce qu'ils devenaient un peu trop voyants."
Catlin continaut a la suite Florian
"Ouaip, tous mort en quelques clics. "

"le Ghost n'est pas une invention ... il est le vestige de l'humanité d'un cyborg."
Prenant une boite d'oeuf et se dirigeant vers le poele
" mais c'est vrai que si une personne ne croit pas au Ghost , il ne connaitra jamais la scysophrénie , il ne connaitra pas la paranoïa , ni autres depression mentale de ce genre."
Elle fit des oeufs sur le plat.
"Le ghost c'est un peu comme notre âme.Les gens sont mort tout simplement
parce que leur ghost,leur âme humaine leur a souffler la verité.
On dit qu'il sait tout.
Mais si on tue les cyborg,c'est juste pour leur mémoire externe.
Voila pourquoi je ne peux pas disparaitre. Si je quitte la section 9 on me retirera ma mémoire et mon corp de cyborg,après ça il ne me restera plus grand chose à part ce qu'on ne peut m'enlever : mon ghost."

"Il y a un moyen pour préserver votre mémoire, votre corps et votre ghost."
Florian avait dit cela d'un ton neutre, comme s'il énumérait les possibilités.
"Mais je pense que ce n'est pas ça qui vous motive,n'es ce pas? Vous voulez un vrais corps, une vraie humanitée. C'est faisable, du moins, c'est possible."

Motoko frappa le meuble devant elle si fort que celui-ci se cobossa et manquer de se fendre en deux.
Non ... je l'ais perdu il y a longtemps ... peut même que je n'ais jamais vécu ...
Elle fermit les yeux.
*oh toi,Dieu qui est censer existé ... comment as-tu pu laisser les hommes se détruire ainsi ?*
Elle mit les oeufs dans une assiète et alla dans le salon, déposant les
plats fumant et prèt.
Vos idée ne m'intéresse ... je me mefie plutôt de vous.

"C'est un peu normal en même temps."
Florian prit sa nouriture tranquillement.
"On ne peut pas dire que pour le moment les plus haut gradés aient prouvé leur totalle gentillesse et loyautée. "
Catlin ne prononcait pas un mot. Les longs discours n'étaient pas sa tasse de thé.
"Enfin bon, qu'es ce que vous comptez faire?"

continuer le boulot surment, et je verrai ce que je ferai ...
Elle commença à manger, proprement et d'une façon élégante.
La beauté de Motoko n'était pas cybernétique, naturel , dans sa façon
d'être, de ce mouvoir, de regarder les gens.
Elle était un aimant à hommes comme l'avez dit l'un de ses
subordonnées, et sont caractère de cochon n'arrageait guère les choses.